Moins de Déni, moins de Jugement…


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Moins de Déni, moins de Jugement…

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1Moins de Déni, moins de Jugement… Empty Moins de Déni, moins de Jugement… Ven 18 Déc 2015 - 18:16

Je suis Jacqueline

Jacqueline

Moins de Déni, moins de Jugement…
le 18 décembre 2015



Le jugement est un sentiment très présent dans le monde de la dualité. Justement car l’être humain est double. Il se sent comme séparé des autres et cela fait naître un sentiment de comparaison permanente, alors que son âme lui montre le chemin de l’unité.

Il est tiraillé entre son âme et son égo et par son libre arbitre doit constamment faire le choix de l’un où de l’autre. Lorsqu’on avance pas dans la vie, c’est qu’on fait plus souvent des choix d’égo.

L’être humain se sent séparé des autres, de son environnement, de ce qui l’entoure, il est témoin du monde.

Il pense que parce qu’il observe le monde de cette manière, en étant témoin, il est en vie, il existe. Pour l’égo, le fait même de se comparer à l’autre, de juger l’autre, c’est la garantie de se sentir en vie.

Peut on reprocher à chaque être inconscient de ce qu’il est d’avoir cette soif de vie? De vouloir insatiablement des preuves d’être en vie, par l’exercice de la mise en opposition (moi et les autres)?

Alors comment enrayer cette manie et ce besoin de différenciation par le jugement de l’autre! Apprenons à détecter en l’autre les manifestations de l’unité qu’il a en lui comme nous en avons en nous.

Bien souvent, sur ce monde de matière, c’est lors de catastrophes que les coeurs s’ouvrent et que les liens d’unité se resserrent. Ces liens apparaissent ainsi clairement quand les coeurs se libèrent suite aux chocs psychologiques.

Apprenons à ouvrir notre coeur à chaque circonstance même quand l’égo tente de nous enfermer dans la séparation. Rappelons nous que ce que l’on critique chez l’autre est par résonance ce que l’on ne voit pas encore en nous.

Pourtant, ce qu’on voit en l’autre est bien là chez nous aussi… Enfoui quelque part, sous un masque comportemental différent de celui qu’affiche cet autre.

Les masques de l’égo peuvent être opposés: un « intimidateur » peut exaspérer un « sauveur », martyriser un « plaintif » et se faire rejeter par un « indifférent ». Mais tous portent en eux et se débattent pourtant avec les mêmes peurs, les mêmes blessures.

Lors de rencontres et lors de scènes de vie, la mise en résonance des êtres met en évidence ces blessures que l’on a tendance à détecter chez l’autre et non chez soi.

On ne voit pas notre blessure commune avec l’autre, car on est occupé à juger le masque de son égo. Du coup on ne voit pas l’énergie commune à la nôtre que l’autre exprime sous ce masque.

Restons donc toujours dans l’humilité, sachant que si quelqu’un ou quelque chose nous énerve, c’est l’occasion de regarder en nous la source de cette gêne avant de s’indigner de cette personne ou événement.

Condamner le jugement est une action sans d’autre effet que celui de l’alimenter. Regarder en soi pourquoi le jugement des autres nous atteint est une démarche libératrice, pour soi et les autres.

Condamner la violence, la jalousie, la haine, la manipulation, l’abus, etc. où toute forme de fléau c’est juste alimenter ces derniers.

Les manifestations sombres sont encore là sur ce monde afin de réveiller les observateurs que nous sommes aux types d’énergies qui nous touchent et que nous avons encore en nous-même.

Ces énergies demandent à être identifiées pour être évacuées. Elles s’évacueront si nous comprenons que les autres sont le reflet d’une partie de nous-même.

S’indigner, ou même combattre un fléau nourrit celui-ci. L’acceptation  de ce qu’il est apporte la compréhension des causes cachées de ce fléau.

Ainsi, dans la conscience de leurs causes dévoilées, les fléaux n’auront plus de prise sur les êtres que nous sommes.

Ne condamnez pas vos frères, observez les et aidez-les indirectement en cherchant en vous-même les énergies déviantes que vous avez observées chez eux et que vous n’avez pas encore transmutées.

Comment savoir si ce que nous observons est transmuté ou pas chez nous?

Sachez que les déviances remarquées chez les autres et qui alimentent nos sujets de conversation du moment sont justement les points que nous avons à travailler en ce moment.

Je remarque le problème du jugement, je travaille cela aujourd’hui… Je remarquerai la colère demain, je travaillerai alors sur ma propre colère… Je remarque la tristesse, je cherche en moi les restes de peines non évacuées, etc, etc.

Vous pouvez faire cela avec tous les problèmes et « pêchés » humains, en sachant que nous les avons tous en nous. Bien que beaucoup s’en défendent, les plus à même d’accepter cela trouveront la tâche plus aisée que les autres.

C’est un travail quotidien qui entraine une réelle élévation et apporte beaucoup de joie lorsqu’il est fait dans l’humilité et l’acceptation que nous ne sommes pas parfaits mais en cours de purification.

Le déni est le pire fléau de notre monde, c’est celui là qui conduit à voir chez l’autre ce que l’on ne souhaite pas voir en soi.

Et c’est ce même déni qui entraine les sentiments refoulés générateurs de problèmes. Car il nous conduit à faire la leçon aux autres avant de s’être libéré soi-même.

Nous devons avoir de la compassion pour toute forme de déviance car la source de ces déviances est souvent commune à tous et  fait partie du karma de l’humanité que chacun est venu transmuter.

La chute dans la matière fut une terrible épreuve pour des âmes qui étaient enfermées dans des corps plus lumineux autrefois.

Cette chute à entrainé bien des atrocités comportementales et des conflits à travers les âges car chacun à du lutter pour sa survie (au détriment des autres).

Aujourd’hui, vos lignées familiales supportent les effets d’actions que vos ancêtres ont commises pour leur survie. Actions qui n’ont pas été sans effet sur leur alignement à la Source.

Vous devez réparer ce karma. Vous avez hérité des déviances de vos ancêtres. Elles sont réparties entre les membres de chaque famille, de chaque fratries.

Nul n’a de tâche plus aisée que l’autre, chacun a un beau fardeau sur ses épaules. La culpabilité, la honte de ce fardeau vous invite inconsciemment à le rejeter alors qu’il vous faudrait au contraire l’accueillir dans votre coeur.

Le travail sur vos mémoires est important, mais n’a pas besoin de se faire par régression karmique. Vous devez simplement travailler sur les traumatismes de votre enfant intérieur.

Cet enfant, qui est la base de votre travail d’alchimie interne, vous livrera des clés énergétiques et une compréhension de ce qui constitue votre fardeau.

Il vous dira pourquoi il n’a pas réussi à le porter tout seul et comment vous pouvez vous, adulte, l’en soulager, dans la conscience et la lumière du moment présent.

Conscient du pouvoir réparateur que votre coeur possède sur votre enfant intérieur vous pourrez alors le guérir par votre propre volonté.

Pour cela il vous faudra dépasser le rejet de ce que vous étiez pour accueillir ce petit vous et le faire grandir de nouveau dans l’énergie du coeur.

Aurélie Pech d’Arcadie.

(merci infiniment de transmettre le texte à condition de ne pas le couper, ne pas modifier le contenu et de mentionner la source: www.lecheminversarcadia.com)

Bonjour, nous vous remercions pour ce message. Il nous fait plaisir de ce partage.

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