Pour se libérer des semenciers, des agriculteurs redécouvrent le maïs population
Publié par LaPresseGalactique.org le 10 Oct, 2016 dans INITIATIVES
Par Marie Astier pour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un agriculteur qui veut planter du maïs ne peut qu’acheter des semences « hybrides », propriété des semenciers. Mais une alternative existe maintenant : le programme « l’Aquitaine cultive la biodiversité » développe les maïs paysans — dits « population » – et sans brevet…
- Le Change (Dordogne), reportage
Solidement planté devant l’enfilade de rangées de maïs, Bertrand Lassaigne est intarissable. Chaque maïs a son petit nom, son histoire. « Le ruffec, c’est un agriculteur charentais qui nous l’a apporté », commente-t-il devant un alignement de plants. De petits panneaux indiquent le nom et décrivent les variétés. « Le coussarin, il vient du Périgord, poursuit-il. Et le lavergne, c’est moi qui l’ai créé. En 2003, j’ai planté un mélange de variétés qui me plaisaient. Puis, d’année en année, j’ai sélectionné les meilleurs épis. Aujourd’hui, il s’adapte à beaucoup de régions, résiste bien à la sécheresse et donne des rendements constants. »
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Solidement planté devant l’enfilade de rangées de maïs, Bertrand Lassaigne est intarissable. Chaque maïs a son petit nom, son histoire. « Le ruffec, c’est un agriculteur charentais qui nous l’a apporté », commente-t-il devant un alignement de plants. De petits panneaux indiquent le nom et décrivent les variétés. « Le coussarin, il vient du Périgord, poursuit-il. Et le lavergne, c’est moi qui l’ai créé. En 2003, j’ai planté un mélange de variétés qui me plaisaient. Puis, d’année en année, j’ai sélectionné les meilleurs épis. Aujourd’hui, il s’adapte à beaucoup de régions, résiste bien à la sécheresse et donne des rendements constants. »
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