Initiation d'Elisabeth HAICH


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Initiation d'Elisabeth HAICH

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1Etoile5 Initiation d'Elisabeth HAICH Mar 10 Juin 2014 - 7:13

Je suis Laurent

Laurent

Dos du livre :
Les mystères de l’Egypte ancienne dévoilés

Des siècles séparèrent l’existence d’Elisabeth, une pianiste d’Europe centrale du XXème siècle, de celle d’une jeune princesse d’Egypte ancienne ayant vécu en 4500 avant J.C.
Pourtant, il s’agit de la même femme.

Pianiste, sculpteur et mère de famille, Elisabeth Haich vit en Hongrie durant la Seconde Guerre mondiale lorsqu’elle va basculer dans des états de conscience modifiés. Elle va alors se souvenir de ses vies antérieures et notamment de la vie exceptionnelle d’une princesse égyptienne.

Dans l’Egypte ancienne, cette jeune fille est initiée aux secrets de la prêtrise par le Grand Prêtre Ptahhotep. Elle se voit dévoiler les connaissances éternelles de la vie et de la mort.

Un roman autobiographique vertigineux qui nous amène à comprendre et à appliquer les lois cachées de l’univers, de l’âme humaine et du destin.

Elisabeth HAICH
Elle est née à Budapest en 1896. Pianiste concertiste réputée, elle a également étudié et enseigné avec passion le yoga jusqu’à la fin de sa vie. Initiation est un livre incontournable et fascinant pour ceux qui veulent éveiller leur conscience

Vie antérieure : fille de Pharaon et épouse de celui-ci.

Extrait d’un chapitre :

Pdt ce temps de préparation à l’initiation, je ne me rends au Temple que le matin. Après les exercices physiques et psychiques, je rentre au palais. L’après midi, je prends part à la vie publique et officielle. Des excursions en bateau et en chariot alternent avec des voyages et des visites d’installations, de lotissements, d’établissements divers. Tout cela m’ennuie terriblement. Ce n’est pas que je n’aime pas être en société, non ! J’aime être en contact avec des gens mais seulement avec ceux qui me sont proches et qui ont qq chose à dire. Or, les humains sont si différents de nous qui sommes issus des fils de Dieu. Nous avons aussi du sang humain, bien sûr, nous ne sommes plus une race pure, mais nous vivons encore consciemment dans l’esprit et ne sommes pas si matériels que les fils des hommes. On dirait qu’ils ont complètement oublié, en leur Soi, ils sont des esprits libres et que leur corps n’est qu’un instrument de manifestation. Mais ils s’y identifient si bien qu’ils vivent dans l’illusion de n’être que dans leur corps. Lorsque ce dernier désirede al nourriture, ils croient que c’est eux qui mangeaient et non pas comme s’ils étaient des spectateurs de leur corps. Ils mangent aussi voracement que les animaux. Je les ai souvent observés pdt leur repas et , maintes fois, j’ai dû détourner la tête pour être témoin de ce comportement quasi animal. Je laisse aussi manger mon corpsde bon appétit, je donne des forces pures à mon estomac, à mes organes digestifs, et je savoure les mets afin que mon corps puisse absorber toutes les énergies précieuses des aliments, mais comment pourrais-je m’identifier à tt cela ? Mon Soi ne peut pas avoir faim, car le Soi n’est pas matière mais règne sur elle. Ma conscience reçoit bien évidemment le message du corps par lequel il l’informe qu’il a besoin de nourriture, et le « JE » en moi ne boit ni ne mange. Comment pourrais-je oublier un seul instant que ces fonctions ne sont nécessaires qu’à la santé de mon corps ? Ma seule chose dont mon JE doit s’occuper est de contrôler et d’observer ce que le corps absorbe et de veiller à ce que les dents et la langue fassent bien leur travail.
Je ne comprendrai jamais l’homme qui, après avoir mangé comme une bête, dit : « Cela m’a plu ! » Cela a plu à « Lui » ? Ne sait-il donc pas que cela a plu à son palais ? Ah ces pauvres hommes, ils sont esclaves de leurs désirs physiques… nous ne nous comprenons pas. Mais Père et Ptahhotep prétendent que notre devoir est de rester parmi eux pour réveiller en eux des besoins plus élevés. Pourtant, Père sait que nombreux sont les dignitaires de la Cour qui ne songent qu’à obtenir des positions et des rétributions supérieures, à acquérir rapidement la fortune afin d’assouvir leur soif de puissance. Ils chassent également des animaux sauvages et emploient leur raison à tuer des bêtes innocentes. Et ils en sont encore fiers ! Ils devraient avoir honte ! Ces gens-là sont bien pires que les animaux. Les animaux ne tuent que pour manger ! Les hommes tuent par passion, parce que tuer – la guerre et la chasse – leur procure le plaisir . Mais Père dit que l’humanité est encore sous-développée et que l’on ne doit pas la juger selon nos critères. Une autre chose encore : ils attachent une importance incroyable à leur arbre généalogique. Si l’un a un ancêtre de plus que les autres issus des fils de Dieu, il ne manque pas une occasion de le mentionner et de mépriser celui qui en a moins.
Lorsque je me trouve au milieu de ces gens, il me semble évoluer parmi des morts qui ne seraient vivants que parce qu’ils peuvent se mouvoir, parler, manger, boire et qu’ils sont animés par les forces naturelles. Mais où reste donc l’esprit conscient qui – dans le corps comme dans l’univers – maîtrise et dirige ? Ils ne savent même pas qu’ils ont la faculté de conduire ces forces créatrices. Ils sont aveugles qu’ils ne perçoivent que la forme extérieure ; ils ignorent qu’il m’est possible de voir leurs pensées, leurs sentiments, toute leur âme, donc leur être intérieur. Ils me mentent ouvertement puisque, ne pouvant lire dans mes pensées, ils ne me croient pas capable de connaître les leurs ni de savoir que leurs discours sont bien différents de leurs pensées. Ils sont inconscients du fait que le mensonge représente un isolement, que, dans leur émanation, il créée une ombre foncée, comme de la fumée qui est laide à voir et qui sent mauvais.


1ER Passage relevé

C’était une vie saine et harmonieuse .Mes yeux ne me préoccupaient pas trop en ce temps là. Après la naissance de mon fils, j’avais passé quelques mois à la mer. Cette source d’énergie mystérieuse m’avait redonné tant de force que je revins radieuse à la maison ; mes yeux supportaient mieux la lumière. Je pus même me remettre à dessiner et à peindre. Je me mis également à la gravure sur bois. Comme toujours, le travail artistique me remplissait de joie.
Apparemment, tout allait bien. Pourtant, je n’étais pas heureuse et je ne savais pas pourquoi. Une insatisfaction intérieure m’envahissait à un tel point que je ne pouvais pas feindre de l’ignorer. Une nuit après avoir vécu avec mon époux une nouvelle expérience merveilleuse de la réalisation suprême de l’amour et de l’unité terrestres, au lieu de m’endormir heureuse, je restai longtemps éveillée à ruminer, à analyser, à disséquer les causes de mon mécontentement intérieur. Je pleurai, je sanglotai dans l’obscurité. Pourquoi étais-je si malheureuse ? J’avais tout ce qu’il fallait pour être pleinement heureuse. D’où venait cette insatisfaction ?
Cette question esquissa la réponse. Du fond de mon subconscient, les raisons commencèrent à apparaître et à devenir conscientes.
Je cherchais un être qui soit mon autre moitié, mon complément. L’amour est la manifestation d’une puissance qui force deux moitiés complémentaires à s’unir. Donc, on appelle « amour » le désir inconscient de s’unir. J’avais vécu cette union, j’en avais éprouvé la plénitude dans mon cœur et dans mon âme et pourtant, je n’étais pas heureuse. Au contraire, mon agitation et mon insatisfaction intérieures grandissaient à chaque fois.
Je m’assis dans mon lit et, en désespoir de cause, demandai encore : « Pourquoi ne puis-je pas être heureuse ? » Je voulais une réponse. Je regardai en moi plus profondément encore et compris que le bonheur de l’union n’était pas tel que je l’avais imaginé. Inconsciemment, j’avais cherché quelque chose, un accomplissement et, aussi longtemps que cela m’était resté inconnu, j’avais pensé que l’amour physique m’apporterait cette perfection. Or, maintenant que j’en avais fait l’expérience, je devais reconnaître que ce n’était pas ce que j’avais espéré ! J’avais touché au suprême dans l’union physique – il me fallait bien admettre maintenant que c’était autre chose d’autre que je cherchais !
Mais quoi ?

J’étais à la recherche de quelque chose de constant !
Je cherchais une unité réelle et durable ! Je cherchais une unité au sein de laquelle je serais identique à l’être aimé ! Je voulais devenir une avec son âme, ses pensées, avec tout son être ! Je voulais être lui ! Mais je ne voulais pas ce qu’on m’apportait l’union physique, ce n’était en réalité qu’une tentative désespérée pour devenir un – on y met toute son énergie – et au moment même où l’on croit parvenir à cette perfection, il y a séparation et l’unité n’a pas été réalisée .


2ème passage relevé :

Je commençai par les ouvrages philosophiques grecs et latins traduits dans une langue familière. Socrate, Platon, Pythagore, Epictète et Marc Aurèle m’enthousiasmèrent. Ils m’apprirent bcp et bien des choses se clarifièrent dans mon esprit. Une phrase d’Epictète, plus particulièrement, resta gravée en moi., m’accompagna tt au long de ma vie et m’aida à sortir de l’obscurité pour aller vers la lumière éternelle :
« Les choses ne sont jamais mauvaises ; seule peut être la manière dont tu y penses ! » .

Je m’efforçais, dès lors de changer toute ma manière de penser, mon point de vue –penser aux choses autrement ! Mais toutes ces grandes vérités ne purent répondre à ma question sur l’au- delà.
Je me penchai sur les philosophes plus modernes, Kant, Schopenhauer, Nietzsche, Descartes, Pascal, Spinoza. Je restai sur ma faim. Je sentais que tous avaient été aussi loin que l’intellect le leur avait permis mais qu’ils n’avaient pu atteindre le but, la réalisation. En fait, leurs réponses étaient moins bonnes que celles des Anciens. Parmi les modernes, Spinoza était certainement celui qui était allé le plus loin dans sa recherche ; Mais j’avais l’impression que ces philosophes modernes s’étaient égarés dans les circonvolutions de leur propre cerveau. Malgré leur système philosophique, ils étaient insatisfaits, déçus, malheureux. Combien auraient-ils pu m’aider dans ma quête des grandes vérités de l’au-delà ? Ils n’en savaient rien et pourtant avaient cherché avec autant de désespoir que moi. Je voulais la réalité, pas des mots.

Un jour, j’étais à la fenêtre avec mon petit garçon et nous regardions les feuilles du châtaigner. Comme tjs, je réfléchissais au sens de la vie. « La mort, me dis-je, tjs la mort ! ».
Mais la voix en moi répondit : « la mort ? –pourquoi ne vois-tu pas que ce seul aspect de la vérité ? Que manifestent l’arbre et toute la nature au printemps ? La vie !
-Toujours la vie ! La mort et la vie se succèdent en un cycle éternel. La mort n’est que l’autre face de la vie… »
Soudainement , je compris que l’arbre retire la vie de ses feuilles en automne pour la garder pour lui ; les feuilles deviennent alors des enveloppes vides ! La vie qui avait animéces feuilles repose dans l’arbre et, au printemps, elle va tout ranimer, se vêtir d’une nouvelle matière – les nouvelles feuilles – et la vie reprend son cycle éternel. L’arbre inspire et expire la vie, seules les feuilles changent, seulement de l’extérieur. La vie éternelle car la vie est l’état d’ETRE éternel. Je vis plus loin encore : la source de état d’ETRE éternel –les hommes la nomment Dieu – insuffle aussi la vie dans l’être humain – comme il est dit dans la bible que Dieu souffla dans les narines d’Adam un souffle de vie – puis la retire et l’enveloppe vide tombe : le corps humain meurt. Mais la vie ne cesse pas pour autant, elle s’habille d’un nouveau corps, en un rythme éternel, comme tout dans l’univers vit et se meut en rythme, des corps célestes à la respiration et aux battements du cœur de chaque être vivant………….



Dernière édition par Laurent le Dim 15 Juin 2014 - 8:35, édité 1 fois

2Etoile5 Re: Initiation d'Elisabeth HAICH Mar 10 Juin 2014 - 7:14

Je suis Laurent

Laurent

Pour moi c'est un livre extraordinaire.

3Etoile5 Re: Initiation d'Elisabeth HAICH Sam 14 Juin 2014 - 21:52

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Oh lala ce Livre..  je ne l'ai pas lu.. je l'ai dévoré..  Smile c'est un merveilleux livre que je conseille vivement.

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