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« Parachever l’oeuvre commencée »
Transmis par Sylvie Gehin
Lorsqu’une forte pulsion vient, soudain, vous envahir, s’imposer à votre corps, à votre esprit, et vous donner l’envie irrésistible de bouger, de réagir, d’aimer, de vous disputer ou de vous enfuir, essayez de la réprimer quelques instants pour mieux la sonder et l’observer.
Si elle se calme, c’est que vous pouvez ne pas y répondre !
Si elle s’accentue et ne cède pas, reconnaissez alors qu’elle est plus forte que vous et voyez si vous allez vous y abandonner, en vous soumettant à sa forte stimulation ou si, avec un certain effort, vous allez parvenir à la canaliser, à en rester le maître et à vous en servir pour augmenter en vous votre force de caractère, votre propre volonté, la puissance de « votre décision », tout ce qui, en fait, vous appartient…toujours !
Votre corps trop tendu, votre mental fatigué par les efforts incessants qu’il produit, réagissent, tout à coup, et vous forcent à faire quelque chose, que vous le vouliez ou non, pour laisser s’exprimer, d’une manière ou d’une autre, ce « trop plein » qui vous étouffe, qui étouffe une partie de votre être.
C’est comme une vanne qui cède, soudainement, et dont le flot libéré ne peut plus être contenu.
Il va, pourtant, très vite falloir le rediriger et le contrôler, pour qu’il puisse s’écouler harmonieusement sans devenir trop dévastateur.
Dès qu’il y a déséquilibre en vous, des forces, des courants, essaient de le compenser jusqu’au moment où rien ne peut plus tout retenir.
Il serait plus judicieux de ne plus laisser s’accumuler tous ces déséquilibres en demeurant, toujours, très conscient des éléments, des situations, pouvant les amener et cela avant qu’ils ne deviennent trop puissants et forcément dévastateurs.
En cela, une fois encore, la juste mesure est nécessaire et reste le seul moyen d’acquérir cet équilibre espéré et dont la maîtrise permet de faire face à n’importe laquelle des situations présentes.
Acceptez que vos erreurs puissent vous mettre face à ces « impulsions » et de grâce, faites votre possible pour qu’elles diminuent de plus en plus, pour que vous puissiez un jour être maître de vous-même.
Ce n’est qu’à ce moment là que vous acquerrez votre liberté puisque vous ne serez plus soumis aux demandes et désirs de votre corps, de votre mental, de votre égo. Vous ne laisserez passer que les courants de Vie susceptibles de vous transformer, de vous éclairer, de vous apporter tous les élans vous conduisant vers les hauteurs de votre incarnation.
Ceci, grâce à une maîtrise totale et un désir constant de parachever « l’œuvre commencée » !
En attendant, acceptez-vous sans vous culpabiliser si vous n’y parvenez pas immédiatement.
Il est parfois utile de devoir recommencer ce qui n’est pas encore « transformé » pour mieux comprendre votre fonctionnement.
Petit à petit, vous saurez et ce sera de plus en plus aisé pour vous d’accomplir vos efforts en « connaissance de cause » et de vous transformer !
Courage, enfants chéris, un peu de patience encore car tout au bout de votre route, la Lumière est déjà visible.
Souriez, irradiez votre amour et tout deviendra beaucoup, beaucoup, plus facile.
Les guides de Sylvie.
La diffusion et la circulation de ce message sont vivement conseillées. L’heure est venue pour faire rayonner à une plus grande échelle, ces énergies nouvelles, porteuses de Joies !
Pour recevoir automatiquement les messages des guides de Sylvie envoyer un courriel vide à Source-de_Joie-subscribe@yahoogroupes.fr
Transmis par Sylvie Gehin
Lorsqu’une forte pulsion vient, soudain, vous envahir, s’imposer à votre corps, à votre esprit, et vous donner l’envie irrésistible de bouger, de réagir, d’aimer, de vous disputer ou de vous enfuir, essayez de la réprimer quelques instants pour mieux la sonder et l’observer.
Si elle se calme, c’est que vous pouvez ne pas y répondre !
Si elle s’accentue et ne cède pas, reconnaissez alors qu’elle est plus forte que vous et voyez si vous allez vous y abandonner, en vous soumettant à sa forte stimulation ou si, avec un certain effort, vous allez parvenir à la canaliser, à en rester le maître et à vous en servir pour augmenter en vous votre force de caractère, votre propre volonté, la puissance de « votre décision », tout ce qui, en fait, vous appartient…toujours !
Votre corps trop tendu, votre mental fatigué par les efforts incessants qu’il produit, réagissent, tout à coup, et vous forcent à faire quelque chose, que vous le vouliez ou non, pour laisser s’exprimer, d’une manière ou d’une autre, ce « trop plein » qui vous étouffe, qui étouffe une partie de votre être.
C’est comme une vanne qui cède, soudainement, et dont le flot libéré ne peut plus être contenu.
Il va, pourtant, très vite falloir le rediriger et le contrôler, pour qu’il puisse s’écouler harmonieusement sans devenir trop dévastateur.
Dès qu’il y a déséquilibre en vous, des forces, des courants, essaient de le compenser jusqu’au moment où rien ne peut plus tout retenir.
Il serait plus judicieux de ne plus laisser s’accumuler tous ces déséquilibres en demeurant, toujours, très conscient des éléments, des situations, pouvant les amener et cela avant qu’ils ne deviennent trop puissants et forcément dévastateurs.
En cela, une fois encore, la juste mesure est nécessaire et reste le seul moyen d’acquérir cet équilibre espéré et dont la maîtrise permet de faire face à n’importe laquelle des situations présentes.
Acceptez que vos erreurs puissent vous mettre face à ces « impulsions » et de grâce, faites votre possible pour qu’elles diminuent de plus en plus, pour que vous puissiez un jour être maître de vous-même.
Ce n’est qu’à ce moment là que vous acquerrez votre liberté puisque vous ne serez plus soumis aux demandes et désirs de votre corps, de votre mental, de votre égo. Vous ne laisserez passer que les courants de Vie susceptibles de vous transformer, de vous éclairer, de vous apporter tous les élans vous conduisant vers les hauteurs de votre incarnation.
Ceci, grâce à une maîtrise totale et un désir constant de parachever « l’œuvre commencée » !
En attendant, acceptez-vous sans vous culpabiliser si vous n’y parvenez pas immédiatement.
Il est parfois utile de devoir recommencer ce qui n’est pas encore « transformé » pour mieux comprendre votre fonctionnement.
Petit à petit, vous saurez et ce sera de plus en plus aisé pour vous d’accomplir vos efforts en « connaissance de cause » et de vous transformer !
Courage, enfants chéris, un peu de patience encore car tout au bout de votre route, la Lumière est déjà visible.
Souriez, irradiez votre amour et tout deviendra beaucoup, beaucoup, plus facile.
Les guides de Sylvie.
La diffusion et la circulation de ce message sont vivement conseillées. L’heure est venue pour faire rayonner à une plus grande échelle, ces énergies nouvelles, porteuses de Joies !
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