« Tout se passe dans le subtil, l’invisible, à l’intérieur, avant de se manifester dans la matière »


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« Tout se passe dans le subtil, l’invisible, à l’intérieur, avant de se manifester dans la matière »

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Je suis Jacqueline

Jacqueline

« Tout se passe dans le subtil, l’invisible, à l’intérieur, avant de se manifester dans la matière »



7/08 Aujourd’hui, le ciel est pur, dépourvu de nuages parallèles ! Ça fait du bien et c’est devenu tellement rare que j’y vois quelque chose de bénéfique, comme un bon présage.
Il se passe beaucoup de choses dans l’invisible et bien que je ne perçoive pas grand-chose, je sens tout de même que des capacités extrasensorielles sont en train de s’affiner.
C’est toujours difficile d’exprimer ce qui est de l’ordre de l’intuition, du ressenti, des sentiments même parce qu’on ne peut pas être objectif et le vocabulaire est limité puisque l’humain a développé et survalorisé le mental.
Tout ce qui est intuitif est marginalisé, méprisé ou carrément encensé lorsque ce sont des artistes qui se laissent guider. Et même si on se moque généralement des médiums, beaucoup de personnes font secrètement appel à leurs dons.

En plus, c’est un ensemble de sensations qui sont vécues simultanément.
Je recommence à faire des rêves semi-conscients où des images dont je ni connais ni les personnages, ni les lieux, apparaissent.
C’est comme si j’étais pour quelque temps dans la peau de quelqu’un d’autre.
C’est assez étrange et impossible à décrire.
Des visions apparaissent comme hier, celle de mains allumant un feu et d’une voix qui tente de raisonner l’incendiaire. Puis en ouvrant la page d’accueil d’orange, la première info sur laquelle je tombe, c’est celle d’un incendie.

Je ne suis pas en train de dire que je fais des rêves prémonitoires mais simplement que les voiles qui séparent le visible de l’invisible semblent se dissoudre chaque jour un peu plus. Tout comme les notions d’espace et de temps.


Le sens de l’individualité change aussi et ces rêves semblent refléter l’ajustement de la pensée consciente, inconsciente et subconsciente. Comme si la lumière de la source venait jusque dans les profondeurs de l’être et par le fait de lâcher prise dans la journée, l’ajustement, l’harmonisation des énergies, se réalise dans les moments où la conscience est en sommeil ou légèrement endormie.

Les synchronicités deviennent la norme et je m’y habitue. L’idée que le besoin de contraste n’est plus si nécessaire qu’avant, m’indique que le désir d’harmonie et d’unité, de communion entre le masculin et le féminin, l’âme, le corps et l’esprit, commence à se manifester dans la matière.

Tout se passe dans le subtil, l’invisible, à l’intérieur, avant de se manifester dans la matière et comme l’humain est multidimensionnel, il n’est pas étonnant que d’une part le mental soit largué et d’autre part que ce processus soit relativement long. Enfin si on résiste au changement parce que dès lors qu'on abandonne la lutte, les énergies s'harmonisent immédiatement apportant la paix intérieure et le mental capte quelques temps après.
Par l'expérience et l'observation le mental perçoit certaines phases du processus qu'il comprend un peu mieux. Le fait qu'il soit plus en confiance lui permet de se fier à l'intuition et surtout le changement de vision l'aide à capter certaines infos.

Comme il n’a pas beaucoup de références en matière de spiritualité, il peine à traduire ce qui est perçu mais déjà, il n’y a pas de stress ou de sensation d’être privé de quelque chose.
J’ai dû relire ce que j’avais écrit hier en voyant les commentaires parce que je n’ai pas eu la sensation de m’exprimer en victime.
Je suis plutôt dans une phase d’observation et de lâcher prise, consciente que tout ce à quoi je me suis accrochée n’a pas vraiment de sens ou est devenu obsolète mais il n’y  pas de souffrance ou de peur.
Au contraire, je commence à prendre vraiment confiance en ce processus d’accueil et à comprendre dans quel ordre les choses se déroulent, à me fier plus à l’intuition au ressenti qu’au raisonnement mental. A accepter le fait de ne pas comprendre de suite ou même éventuellement jamais, à ne plus attendre de comprendre pour oser être ce que je suis et à agir dans l’élan, sans me demander s’il est juste ou non.





S’il y a élan spontané, c’est qu’il est forcément le bon puisque nous sommes toujours guidés. Enfin il est le bon dans le parcours qui est le mien, en étant consciente que je suis avant tout l’amour, en ayant confiance en cela pour me permettre d’agir spontanément puisque je prends la responsabilité de mes choix.
Ce qui ne veut pas dire que je ne projette pas vers l’extérieur ce que je ressens, au contraire, mais je le fais le plus souvent en étant consciente de ce phénomène et en revenant au centre si je ressens un malaise ou si l’autre se sent agressé.

Et en agissant dans la spontanéité de l’instant, je vois autant la peur qui peut se manifester face à l’inconnu, que la joie de découvrir, d’être surprise, émerveillée même parfois de ce qui résulte de cette attitude confiante.
L’idée même de qualifier une pensée émotion de peur perd peu à peu son sens parce que tout est énergie et dans l’acceptation de ce qui se manifeste en soi, la reconnaissance de cela, il n’y a plus de prise dessus.

La peur est perçue comme une énergie de résistance ou d’incompréhension qui a nécessairement son opposé et quand on vient au centre de soi, c'est-à-dire quand on ne s’attache plus à ce qui émerge en soi, que ce soit "positif" ou "négatif", quand on laisse passer l’énergie, l’équilibre s’établit dans le mouvement.
Là encore, ça n’est pas évident à expliquer puisque c’est de l’ordre du vécu, du ressenti.

J’ai été contente d’avoir un retour au travers des commentaires parce qu’il est vrai qu’ils sont rares. D’un autre côté comme j’y réponds spontanément d’une façon qui peut sembler sèche parfois, ou sur un ton un peu trop sûr de moi, ça n’est pas étonnant non plus. Enfin disons que le fait que je ne sois pas dans la complaisance peut heurter.
Les parts internes qui restent méfiantes s’activent toujours et je suis encore dans la réaction ou la justification mais j’en suis consciente, même si je ne le réalise qu’après.
Je me rends compte que je suis encore sur la défensive et c’est sûr que les croyances et conditionnement sont encore actifs.
Mais le reconnaître et accepter cela, c’est la seule façon de changer le comportement.
C’est d’abord la vision qui change, les énergies qui s'équilibrent et le comportement s’y ajuste naturellement.


C’est vrai qu’il n’est pas facile de trouver l’équilibre et le masculin en moi a encore besoin d’être pacifié, harmonisé, mais ça s’installe peu à peu.
Être vrai et spontané avec soi-même est relativement facile mais face aux autres, c’est délicat parce qu’on ne sait pas comment ce qu’on dit sera interprété.

En ce sens, commencer par accepter d’être ce qu’on est, facilite les choses parce qu’alors, on se souvient qu’on n’est pas responsable de la façon dont l’autre perçoit ce qu’on dit.
Et parfois avec le recul on se rend compte qu’un comportement qu’on a cru être excessif a eu finalement un impact positif.

Il y a quelques jours, le gamin du quartier qui arrive à l’âge de l’adolescence a claqué les portes en criant et ça m’a amené à m’intérioriser pour faire face à ma propre colère, à accueillir les pensées émotions de l’adolescente intérieure.
J’ai offert à la source tout ce que la situation faisait émerger jusqu’à retrouver la paix.
Puis le matin quand j’ai vu son père, je lui ai dit spontanément et sans agressivité, sans me plaindre, qu’il serait bon qu’il apprenne à son enfant à gérer sa colère.
Sur le coup, j’étais sure de moi et il ne s’est pas braqué bien que je l’ai entendu bredouiller quelque chose d’incompréhensible alors qu’il s’éloignait.

Après avoir fait une sieste l’après midi, j’ai commencé à culpabiliser, à me dire que j’aurais dû me taire, ne pas m’en mêler. Peu à peu, j’ai senti mon taux vibratoire baisser alors j’ai offert à la source intérieure ces pensées de culpabilité.
Et ce matin, le père de l’enfant m’a salué gentiment. Je ne sais pas si son attitude est sincère parce que beaucoup de gens agissent de façon à ne pas faire de vagues mais ça lui appartient.





Cette expérience me montre que l’accueil des pensées émotions permet d’exprimer les choses de façon juste.
Juste pour soi-même, juste lorsqu’on sent que tout en soi est aligné.
Mais ce que je décris là n’est pas intellectuel, il ne s’agit pas de raisonner.
Il est question d’accueillir ce qui émerge en soi et de rester spontané.
Tout se passe à l’intérieur de façon intuitive, au ressenti.
C’est quand on essaye de l’expliquer que ça se complique mais en vérité c’est très simple.

Ce que je défini comme juste se base sur l’effet que ça me fait à l’intérieur.
Si la sensation est désagréable, c’est que la pensée n’est pas alignée à la source.
Et ce qui est juste pour moi ne le sera pas nécessairement pour l’autre.

L’âme connait les raisons des échanges entre humains, elle sait ce que chacun doit intégrer, ce que chacun a besoin de conscientiser et d’affirmer.
Au niveau de l’âme, il n’y a pas de culpabilité, de notion de supériorité ou d’infériorité, de bien ou de mal, il y a simplement des expériences qui permettent à chacun de devenir plus conscient et bienveillant avec lui-même et avec les autres.
Les autres qui sont issus de la même Conscience sont donc égaux en droit, ils ont la même valeur, le même potentiel, nous sommes individualisés uniquement au niveau de la personnalité.
Peut-être aussi au niveau de l'âme et du Soi mais ça pour le moment, je ne m'en préoccupe pas.
J'ai plutôt l'impression que l'unité de conscience "commence" au niveau de l'âme mais bon, c'est une impression qui demande confirmation...

La matinée s’est écoulée tranquillement au jardin où je récolte ce que je peux puisque tout vient en même temps. Là encore ce qui pourrait me réjouir a tendance à me coller la pression parce que tout vient en même temps, en des quantités difficilement gérables.

Je sens que c’est encore une occasion de lâcher tout ce qui nourrit les croyances basées sur l’idée de manque.
Et là encore, inutile d’essayer de trouver l’équilibre en raisonnant à partir de nouvelles croyances.
Le mental ne peut pas avoir une vision juste de ce qu’est l’équilibre, le juste milieu, seul l’accueil des pensées émotions de jugement, l’abandon en confiance à la source, peut rétablir l’ordre, l’équilibre et l’harmonie. Il ne dispose pas de toutes les données pour avoir une juste vision de ce que sont la justesse et l'équité.

C’est toujours au niveau énergétique que les choses commencent ou se réalisent.
Le mental peut comprendre certaines données spirituelles par l’expérience, l’observation et la déduction même si sa compréhension est limitée.
Il n’aura qu’un aperçu limité de la réalité multidimensionnelle de l’être qu’il peut difficilement concevoir. Même lorsqu'on ne s'identifie plus à la personnalité seulement, lorsqu'on se fie à la paix du cœur, et lorsqu'on est conscient des conditionnements qu'on ne veut plus nourrir, la vision du mental reste aléatoire, subjective et limitée.

Le cœur sait, comprends ces notions complexes mais sa façon de comprendre n’est pas intellectuelle même s’il est intelligent. Ce savoir est plus de l’ordre du ressenti, c’est une sensation intérieure qui ne laisse aucun doute mais qui ne permet pas de voir la trame entière.





8/08 Ce matin, je suis tombée du lit à 5h et bien que je me sois demandée s’il ne serait pas plus respectueux pour les besoins du corps physique de me recoucher, l’envie de profiter de la fraicheur matinale l’a emporté. Et aussi l'envie irrépressible d'écrire.

Par expérience, et avec du recul, je sais que l’esprit précède la matière et que la façon dont on se sent psychologiquement prévaut sur le corps physique.
J’ai eu plusieurs fois l’occasion de constater la puissance de l’état d’être et même si c’est à travers l’usage de psychotropes que j’ai fait ce constat, je l’ai aussi vérifié dans des périodes où je ne prenais rien du tout.
Avant même de me tourner vers le christ, j’ai constaté que selon mon état d’être intérieur, tout changeait dans ma réalité, dans la matière. Et c’est aussi pour cette raison que je me suis tant accrochée aux drogues mais maintenant je le vérifie en conscience et comme je sais que je peux changer mon état d’être en changeant ma vision, mes pensées, ça change tout.

Ce ne sont plus les produits qui déterminent exclusivement mon état d’être même s’ils ont un impact physiologique sur le corps. L'intensité de la croyance en cette seule solution possible pour être bien dans ma peau, diminue peu à peu par l'observation des processus internes.
Je constate la puissance du lâcher prise et la façon dont cela change les croyances en profondeurs.
Même si le processus qui permet de libérer le geste addictif est long, c’est chaque jour que je peux vérifier l’efficacité du lâcher prise et le fait que les pensées que je nourris impactent directement mon état d’être indépendamment de l’effet des cachets.

J’ai fait plusieurs fois ce constat et c’est cela qui dissout peu à peu la croyance que les cachets sont la seule façon d’être bien. La guérison ou libération intervient selon plusieurs facteurs déterminant et dans un ordre précis.

Il est nécessaire de prendre conscience de ce qui est puis en ne luttant pas contre cela, en laissant l’amour et la lumière restaurer la vision, l’ordre et l’équilibre énergétique, le geste change.
C’est toujours la prise de conscience suivie de l’acceptation qui permet de modifier les énergies, de les harmoniser et c’est ce qui change l’attitude, le geste, la matière.
C’est devenu une certitude pour moi parce que justement j’observe ce qui se passe à l’intérieur, le plus objectivement possible, enfin dans la neutralité.

Lorsqu’on est conscient de la puissance de l’esprit, quand on constate à quel point on somatise par exemple, le premier réflexe sera de changer sa vision donc ses croyances mais si on ne va pas au bout du processus, non seulement on luttera contre le mental, contre les pensées/émotions qui n’entrent plus dans le cadre des nouvelles croyances créant ainsi des conflits internes, mais en plus on renforcera la division donnant ainsi plus de poids aux croyances passées et rien ne pourra changer durablement.

Ça peut sembler complexe mais quand on fait l’expérience de la paix qui vient lorsqu’on lâche prise, lorsqu’on se place en observateur neutre de ce qui est, comme la paix s’installe, on commence à comprendre avec le cœur, que l’unité est la clef.
Mais là encore, on ne peut passer de la dualité à l’unité en essayant de comprendre intellectuellement.
Si le mental essaie de savoir ce qui est juste par des raisonnements basés sur des connaissances nouvelles, il va s’emmêler les pinceaux et ce sera pire si la personne a un fort quotient intellectuel parce qu’elle va s’acharner à vouloir comprendre alors que ça n’est qu’en s’abandonnant à l’intelligence du cœur, en toute humilité, c'est-à-dire en reconnaissant que le mental est dépassé, que la lumière peut le pénétrer.
Mais là encore, tant qu’on a des attentes, tant qu'on veut savoir, comprendre de suite, c’est que le mental reste au premier plan.

Tant qu’on n’a pas complètement confiance en l’intelligence du cœur, on ne peut pas recevoir les réponses, enfin on ne peut pas les percevoir parce qu’on s’identifie au mental, on reste dans l’attente d’une compréhension intellectuelle et par ce fait, on accorde plus de place au mental qu’au cœur.





Je ne sais pas si je suis claire mais ce qui est certain c’est qu’en revenant systématiquement au cœur, quand quelque chose nous trouble, en lui confiant tout ce qui nous pèse, nous interroge, les réponses viendront.
Elles seront personnalisées, elles correspondront toujours à notre personnalité, à ce que nous avons besoin de conscientiser et de lâcher mais ce qui est valable pour tous, c’est le principe, le fait de devoir lâcher prise pour amplifier la foi, la confiance en l’intelligence du cœur.

Tant qu’on nourrit la division intérieure, tant qu’on rejette un seul aspect de l’être, tant qu’on ne fait pas la paix avec tout ce que nous sommes, tant qu’on n’a pas suffisamment confiance en la source, on ne pourra pas changer de comportement.

Seul le cœur peut réaliser la paix et l’unité intérieure, aucune connaissance intellectuelle ne peut amener la paix profonde et véritable en soi. Rien ne peut remplacer l’expérience directe, intérieure.

J'ai du attendre que ma vision s'éclaire à propos de l'épisode avec le voisin avant de pouvoir en parler. Je voulais comprendre un peu mieux mais là encore, j'essayais de savoir si j'avais eu tort ou raison alors que la seule chose que demandait cette expérience, c'était d'offrir à la source tout ce que ça faisait émerger en moi, de prendre conscience du déséquilibre intérieur et de laisser la source agir.
C'est la raison d'être de ce contexte duel, amener chacun à rechercher et à trouver la paix du cœur, l'unité et l'harmonie intérieure.

Maintenant, je ne raisonne plus en terme de tort ou de raison mais plutôt en me disant que la seule chose qui importe, c'est de repérer et lâcher les déséquilibres, les pensées qui nourrissent les croyances basées sur l'idée de division, de séparation et c'est tout.
C'est cela qui rétablit la paix et l'harmonie.
En l'occurrence il s'agissait de lâcher la culpabilité, la croyance que je suis responsable des réactions de l'autre.  Vaste sujet!


Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr

Bonjour, nous vous remercions pour ce message. Il nous fait plaisir de ce partage.

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