Solstice d’hiver du 21 décembre 2016
par Ozalee
Quand les choses se mettent en place, cela peut se faire avec fracas. Pourtant, le silence est de mise quand les nuits s’agrandissent. Alors qu’est-ce qui fait grand bruit à l’intérieur de vous? Qu’est-ce qui vous isole de vous-même? Qu’est-ce qui vous retient encore de l’intérieur? Car c’est cela qui vous écartèle, qui ne vous permet pas encore – totalement – d’ouvrir les bras et d’accueillir le matin.
Et pourtant, vous sentez que ce matin est proche, à portée de main. Vous sentez que les idées demandent à fleurir, mais pour cela il convient de préparer la terre. Qu’est-ce qui encombre encore votre sol intérieur? Avez-vous seulement choisi une terre plus qu’une autre? Vous sentez que des choix s’imposent à vous, que d’anciennes boucles demandent à être bouclées et que votre essence – votre âme – a le goût de vous porter plutôt que d’être contrôlée. Accueillez votre multiplicité sans pour autant vous diviser. Comprenez qu’à chaque saison éclot des merveilles qui ne sont ni comparables, ni similaires. Accueillir le rythme des saisons et célébrer l’instant est le rappel de cette période charnière du solstice d’hiver.
Il est temps de faire le tri – encore – mais de lâcher les vieilles branches et ce qui a été meurtri. il n’y a plus rien à craindre désormais, car vos ombres vous sont montrées. Il n’y a plus rien à souhaiter, car vos rêves sont en marche. Rappelez-vous un pas à la fois. C’est dans le calme de votre démarche que vous saurez prendre le temps de vivre. Que vous saurez vous positionner, même si cela fait encore peur. Reconnaître ses frayeurs, ce n’est pas leur porter de l’attention, c’est leur porter de la lumière. Cette dernière devient ainsi bienveillance, et même si vous doutez de vos facultés, une part de vous sait que tout est pour le mieux.Ce n’est pas car on connaît la destination qu’on part en voyage, mais bel et bien car on ne la connaît pas.
Douce renaissance à tous. Prenez le temps en ce jour du solstice. Et souvenez-vous qu’il est plus douloureux d’être sur le seuil que d’emprunter le passage.
Avec nos meilleures intentions.
Ozalee – Farah Sahbi – www.ozaleesens.com
Vous êtes invités à reproduire cet article pour le retransmettre en incluant ceci : « Chronique trouvée sur lapressegalactique.org »
par Ozalee
Quand les choses se mettent en place, cela peut se faire avec fracas. Pourtant, le silence est de mise quand les nuits s’agrandissent. Alors qu’est-ce qui fait grand bruit à l’intérieur de vous? Qu’est-ce qui vous isole de vous-même? Qu’est-ce qui vous retient encore de l’intérieur? Car c’est cela qui vous écartèle, qui ne vous permet pas encore – totalement – d’ouvrir les bras et d’accueillir le matin.
Et pourtant, vous sentez que ce matin est proche, à portée de main. Vous sentez que les idées demandent à fleurir, mais pour cela il convient de préparer la terre. Qu’est-ce qui encombre encore votre sol intérieur? Avez-vous seulement choisi une terre plus qu’une autre? Vous sentez que des choix s’imposent à vous, que d’anciennes boucles demandent à être bouclées et que votre essence – votre âme – a le goût de vous porter plutôt que d’être contrôlée. Accueillez votre multiplicité sans pour autant vous diviser. Comprenez qu’à chaque saison éclot des merveilles qui ne sont ni comparables, ni similaires. Accueillir le rythme des saisons et célébrer l’instant est le rappel de cette période charnière du solstice d’hiver.
Il est temps de faire le tri – encore – mais de lâcher les vieilles branches et ce qui a été meurtri. il n’y a plus rien à craindre désormais, car vos ombres vous sont montrées. Il n’y a plus rien à souhaiter, car vos rêves sont en marche. Rappelez-vous un pas à la fois. C’est dans le calme de votre démarche que vous saurez prendre le temps de vivre. Que vous saurez vous positionner, même si cela fait encore peur. Reconnaître ses frayeurs, ce n’est pas leur porter de l’attention, c’est leur porter de la lumière. Cette dernière devient ainsi bienveillance, et même si vous doutez de vos facultés, une part de vous sait que tout est pour le mieux.Ce n’est pas car on connaît la destination qu’on part en voyage, mais bel et bien car on ne la connaît pas.
Douce renaissance à tous. Prenez le temps en ce jour du solstice. Et souvenez-vous qu’il est plus douloureux d’être sur le seuil que d’emprunter le passage.
Avec nos meilleures intentions.
Ozalee – Farah Sahbi – www.ozaleesens.com
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